qui nous sommes

Qui on est:

Une ferme d’animation associative en début de vie, à ce jour constituée de moi Aurélia, 35 ans, présidente, et Clem,44 ans, trésorier, Monam et Olivier, secrétaire, représentant et jardiniers, et des nouveaux copains qui sont entrain de se faire une place.

Ainsi que plusieurs familles de bénévoles, nomades et sédentaires qui viennent de tempse en temps et qu’on adore.

Les statuts ont été publiés au Journal Officiel en 2020

On est en cours d’installation sur un beau terrain entre Brantôme et Thiviers dans le Périgord vert, avec Martin l’âne, la vache Mirabelle et sa fille Prunelle, les poneys Fakir et Luciole, les lapins Loumi et Roudoudou et leurs 7 bébés, Câlinette et sa famille de cochons d’inde, des poules, des canards, et Casimir le chien.

Grâce aux bénévoles qui nous ont aidés, on a bien avancé sur le nettoyage du terrain, déchets en quantité et murs de ronces comme dans la belle au bois dormant…

Les conditions de vie sont toujours rudimentaires, mais le terrain est ouvert aux personnes qui veulent se poser en tente ou habitat mobiles, contre petits coups de main.

~ Qu’est-ce qu’on propose pour l’instant ?

Un accueil en caravane du printemps à l’automne en echange de soins aux animaux ou autre en fonction des besoins.

Possibilité de camper ou se poser en camtar.

Des visites à la journée ou demi-journée toute l’année sur réservation.

En Septembre: brâme du cerf.

~ Qu’est-ce qu’on veut faire:

Un paquet de trucs.

Globalement, l’idée c’est de créer un lieu d’échanges et de partages autour de la nature et des animaux.

Dans un etat d’esprit « prix libre » autant que possible, toutes personnes souhaitant se ressourcer auprès des animaux sont les bienvenues.

Notre postulat, c’est que si on leur en donne la possibilité, les animaux peuvent nous aider à devenir des humains plus heureux et plus conscients, et donc moins nocifs pour l’environnement.

Donc câlinothérapie à gogo jusqu’à ce qu’on arrête de bousiller la planète 😉

Au programme cette année: continuer à aménager le terrain. Le défricher, le décorer, faire des barrières, aménager une « salle de bains » sauvage avec baignoire chauffée au feu de bois, etc… Et commencer a accueillir des visiteurs.

L’an prochain: proposer des balades à poney, des repas partagés, des après-midi à la ferme pour toute la famille, des mini-randonnées, des stages et des ateliers bien-être et débrouille, par exemple théatre, apprentissage du respect du consentement pour petits et grands, fabrication de jeux, réparation d’outils, chant de mantras, construction de cabanes, arts martiaux, peinture…

Plus tard: faire naître nos premières mules, créer des petits habitats pour accueillir les femmes isolées, des jeunes en séjour de rupture, créer une activité de médiation animale, accueillir des institutions, des colonies de vacances, des personnes souhaitant travailler sur des troubles spécifiques.

Developper des partenariats à l’étranger.

Dans le très long terme: conquérir le monde et imposer la dictature des bisounours 💪🌈

~ Comment on va fixer nos tarifs:

Yaura pas vraiment de tarifs.

Impossible de mettre une valeur sur des moments partagés, ça dépend de plein de facteurs et surtout du porte-monnaie de chacun…

Donc presque tout sera en prix libre pour les particuliers, sauf les prestations des intervenants qui ont des frais de déplacement, et ça sera à vous de voir combien vous voulez mettre dans la boîte à la fin de la journée pour que l’asso puisse continuer à fonctionner; nourrir les animaux, payer le véto, entretenir et améliorer le lieu, etc…

~ Comment on va survivre si on fait ça:

Eh bien on compte sur les visiteurs pour jouer le jeu, et sur les interventions en mediation animale auprès des institutions, qui elles auront un prix fixe.

Et en back-up il y aura des campagnes de financement participatifs, et des demandes d’aides auprès des fondations qui soutiennent les projets en médiation animale (A&P Sommer par exemple)

~Notre idéologie: alors Bisounours Forever, bien sûr, parce que c’est mignon et rigolo, mais plus sérieusement si on devait mettre en avant une valeur, ce serait la modération.

Chercher des terrains d’entente plutôt que des sujets de discorde.

Nous respectons tous les régimes alimentaires et n’en prônons aucun si ce n’est le local sans pesticides pour des raisons évidentes.

La production de viande ne nous pose pas de problème en soi, nous questionnons simplement la pertinence d’imposer une vie de misère à des êtres vivants doués d’intelligence et d’amour qui ont tellement plus à nous apporter que des protéines… 🤔

Et nous proposons de réfléchir tous ensemble à des solutions pour éviter les dérives maltraitantes, aussi bien dans l’industrie alimentaire que dans le système global.

Nons ne cherchons à imposer aucun dogme, juste à avancer sur la voie du « vivre ensemble »